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En commentaire du premier billet sur le contenu et le taux de conversion, David soulignait que ce qu’on nomme aujourd’hui taux de conversion se disait à l’origine taux de transformation. Or, Google nous rassure: le vocable n’a pas disparu…
Pour preuve, cette définition sur le Journal du Net, dont je garde la substance: « Le taux de transformation indique la capacité du site (marchand) à transformer les visiteurs en acheteurs. »

Poursuivons donc notre série de conseils visant à optimiser ce taux de transformation (ou conversion).

Donner, c’est bien ; échanger, c’est mieux

Récoltez les adresses e-mail des visiteurs auxquels vous donnez de l’information personnalisée. Lorsque vous proposez des livres blancs, catalogues, témoignages et autres documents de toutes sortes, demandez à vos utilisateurs de s’enregistrer pour obtenir vos informations. De cette manière, vous étoffez votre base de données et pouvez retourner vers ces nouveaux utilisateurs. Qui sait, ceux-ci deviendront peut-être un jour clients…

Ne les abandonnez pas pendant leur achat

Ne vous contentez pas de décliner votre offre sur les pages Produits uniquement. Dans vos pages d’abonnement, d’inscription ou d’achat, reprenez les caractéristiques principales des produits sollicités. Guidez votre utilisateur à chaque étape en lui indiquant la démarche qu’il est en train de remplir.

La technologie doit rester un moyen, la simplicité une fin

Votre navigation doit être la plus transparente et lisible qui soit. Plus vous proposez d’options, plus votre architecture est compliquée, plus votre taux de conversion sera faible. Parce que vos visiteurs seront partis avant la fin du voyage. D’ailleurs, vous verrez que sur les bonnes pages de commande, la navigation est presque nulle.

L’utilisateur est la mesure de toute chose

Invitez un panel d’utilisateurs potentiels à parcourir votre site. Ecoutez attentivement leur retour. Ils ne comprennent pas certaines instructions ? Ne trouvent pas certaines options ? Vous avez sans doute encore du pain sur la planche…

A chacun son métier

N’oubliez pas de faire appel à un webwriter compétent. Soit pour rédiger vos contenus, soit pour les vérifier. Vous manquez parfois de la distance que lui aura pour optimiser votre « tone of voice » et votre interaction avec l’utilisateur.



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