Les prédateurs du référencement-We Are the Words

Étiquettes : , ,

Petit récapitulatif des récentes mises à jour de Google Panda et Pingouin; ces petits animaux inoffensifs mais craints par bon nombre de concepteurs Web.

Les prédateurs du référencement

Pour rappel, ces filtres de Google prénommés Panda et Pingouin sont à la base destinés à lutter contre les pratiques quelque peu illicites en termes de référencement SEO. En gros, Panda part à la chasse des contenus Web de piètre qualité tandis que Pingouin débusque les pratiques douteuses extérieures aux sites Internet.

Les proies du Panda et du Pingouin

Ces animaux font ainsi la part belle:

  • au netlinking (abus de liens hypertextes  qui pointent vers une page Web)
  • au backlinking (échange ou achat de liens hypertextes renvoyant vers un même site Web)
  • au référencement à outrance (usage excessif de mots-clés)
  • aux fautes d’orthographe
  • aux spams
  • aux contenus dupliqués
  • etc.
[pullquote]Les facteurs et les critères d’un contenu Web de qualité sont en permanence plus pointus.[/pullquote]

Et puisqu’un homme averti en vaut deux, consultez la check-list officielle de la guideline SEO, vous vous assurerez ainsi de suivre le bon chemin du référencement indiqué par Google.

Mais pourquoi diable tout cet arsenal me direz-vous? Le but est de garantir, aux internautes exigeants que nous sommes, des contenus Web de qualité; pertinents, accessibles et utiles. Lorsque ces injonctions ne sont pas respectées, les sites Web en question sont sanctionnés, pénalisés, blacklistés; certaines pages disparaissent, ou encore  deviennent introuvables dans le moteur de recherche. Nous voilà donc prévenus!

Fort heureusement, les filtres de Google Panda et Pingouin sont régulièrement mis à jour; les sanctions et les pénalités ne sont donc pas définitives. Mais à l’instar du taux de rebond, Google ne révèlera bien sûr jamais tous les critères pris en compte.

Le nouveau Pingouin

Déployée en mai dernier, la nouvelle version de Pingouin analyse plus en profondeur les contenus en ligne; l’impact à venir s’annonce donc plus important. D’où l’appellation 2.0. En quelques mots, cette mise à niveau se concentre sur:

  • la chasse aux liens dofollow (liens hypertextes vendus et/ou achetés)
  • les requêtes intempestives et indésirables 
  • Un système d’analyse de liens hypertextes plus avancé 
  • Une meilleure détection des sites hackés
  • Une plus grande visibilité pour les sites de référence
  • Moins de clustering (les résultats proposés sur la première page proposeront des noms de domaine plus variés)
  • Davantage de communication avec les webmestres via Google Webmaster Tools

Pour un meilleur classement

L’infographie ci-dessous (de Search Metrics) indique que les réseaux sociaux arrivent en tête des critères d’un bon ranking, bien avant même le contenu d’une page Web. Tenez compte de ces différentes mises à niveau pour un référencement éditorial optimal et naturel.

Les précepts 2013 de Google-We Are the Words

Les facteurs d’un bon ranking

Pour conclure

Vous l’aurez compris, les critères d’un contenu Web de qualité sont constamment plus pointus. Google Panda et Google Pingouin veillent en permanence au grain, les sanctions peuvent parfois sembler lourdes, mais il en va de l’avenir d’Internet.

 

Faites-nous part de vos impressions, commentez cet article ! 


Commentaires

  1. J’aime bien l’image choisie pour illustrer; chasser les fautes d’orthographe sur certains sites risque d’être chronophage pour ces animaux :).

  2. Bonjour Erwan,

    Comme vous, j’appréciais moi aussi cette image à la fois décalée mais concordante avec le sujet de cet article.

    Concernant les fautes d’orthographe, il est vrai que la chasse est ouverte; l’erreur est humaine mais dans les limites de l’acceptable 😀

    Je vous remercie pour votre commentaire, passez une agréable journée.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Devenez chroniqueur

Vous souhaitez devenir chroniqueur ou nous soumettre un article? Rien de plus simple.

Ça m'intéresse

#EPW sur Twitter

#EPW sur Facebook

À propos

Votre blog Écrire pour le web en chiffres
  • Plus de 25.000 sessions par mois
  • Plus de 35.000 pages vue chaque mois
  • 1500 abonnés à la newsletter
  • Créé en 2006
  • 1e position dans Google sur des expressions métier
En savoir plus