combien de requêtes SEO dans vos landing pages ?

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Intégrer les requêtes SEO de ses prospects et clients dans ses landing pages, c’est le b-a-ba de la rédaction Web. Mais combien de requêtes, et comment les organiser dans la structure du texte?

Chacun a ses marottes, ses recettes en écriture web SEO. D’aucuns optimisent leurs contenus sur un mot-clé, d’autres sur un maximum de requêtes SEO. Et entre les deux, et au-delà, il y a tous les autres. Qui font encore autrement.

Je pense que le nombre de mots-clés à intégrer dans une landing page dépend de leur opportunité, séparément et ensemble, et de la faisabilité de les intégrer tous. Car c’est la qualité éditoriale qui doit primer.

Selon la longueur du contenu (300, 600 ou 1200 à 1500 mots), on varie donc le nombre et la répétition des requêtes SEO. On respecte aussi un ordre hiérarchique particulier pour associer brand content et SEO. J’évoque le lien entre les 2 stratégies, contenu de marque et référencement naturel, dans mon article sur le Brand content et le SEO sur le site de mon agence.

Pour ma part, je retiens toujours entre 3 et 5 mots-clés par landing page. Et je m’assure dans les zones chaudes, critiques pour Google, d’intégrer minimum 2 mots-clés. Un peu comme, entre autres spécialistes en référencement naturel, Olivier Andrieu et son concept de requête principale (RP) et requête secondaire (RS). Mais je ne les utilise pas tout à fait de la même manière.

Quelle longueur, vos requêtes SEO, Madame?

J’essaie que les deux requêtes SEO n’aient pas le même statut dans la traîne. Je préfère donc un mot-clé de tête et un de torse, ou, lorsqu’on est dans la queue de traîne, on s’assure d’avoir un mot-clé à haut volume de recherche.

Par ailleurs, je ne répète pas abusivement les requêtes SEO à l’intérieur de la landing page. Tous les rédacteurs Web le savent. Pas de suroptimisation ni de stuffing. Nous insérons plutôt des féminins, pluriels et dérivés ou variantes. Une page bien positionnée sur « négociant » ne l’est pas nécessairement sur «négociants» ou « négociation ».

De l’art de varier les plaisirs, et les niveaux de précision sémantique dans vos landing pages

On prend en compte, également, les autres mots et expressions faisant partie du même champ sémantique, et susceptibles d’être saisies sur un moteur de recherche. Ce sont autant de chances supplémentaires de vous trouver. D’autant que les internautes n’ont pas tous les mêmes « mots chers ». Encore moins dans les secteurs de niche.

On utilise donc aussi des synonymes et des déclinaisons. La synonymie ajoute à la richesse sémantique de votre contenu bien plus que la redondance, que tolèrent de moins en moins les moteurs.

Bref, comme vous le constatez, le nombre de mots-clés ou expressions à utiliser varie selon de nombreux facteurs, mais une seule question doit vous guider en premier lieu : quels sont les concepts les plus susceptibles d’être recherchés par mes cibles autour du sujet que je veux traiter, et comment traduire ces concepts en 2, 3 requêtes SEO opportunes, populaires et pas trop concurrentielles.

Et vous, c’est quoi votre routine en écriture SEO? Combien de mots-clés retenez-vous par landing page, dans la phase d’écriture ? Dernière question : quelles sont les deux requêtes (RP et RS) que j’ai choisies pour cet article-ci ?


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