Comment sauver ses contenus web moins performants?
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Des contenus web moins performants, quel marketeur n’en a jamais eu? Apprenez à les détecter et en tirer profit grâce à l’optimisation historique.
Bonne nouvelle! Le dernier rapport annuel State of Inbound de HubSpot confirme que, pour 60% des spécialistes du marketing, la création de contenu fait partie des top priorités: contenu interactif (41%), long-form content (33%) et contenu visuel (33%). Malheureusement, ces contenus ne sont pas tous destinés à un brillant avenir. Si l’on regarde les choses froidement: des millions de contenus publiés chaque jour sur le web font chou blanc côté trafic et lead nuturing.
Bien sûr, il est décourageant de voir sous-performer un contenu, mais le pire est de le laisser sombrer. Pour sauver vos contenus web moins performants, apprenez à les identifier, les repositionner et les optimiser. Objectif? Rentabiliser les efforts éditoriaux de votre stratégie de contenu pour générer plus de vues et attirer des prospects.
Contenus web moins performants: qui sont-ils?
On dit qu’un contenu web sous-performe quand on constate:
- Peu ou pas de trafic organique. À cause d’une mauvaise optimisation SEO ou d’un nombre trop faible de liens entrants backlinks depuis des sites à fort trafic.
- Peu ou pas d’engagement direct. À cause d’un mauvais appel à l’action ou d’une promesse éditoriale non tenue, cela peut toucher même des contenus web très fréquentés.
- Peu ou pas d’engagement social. À cause d’un manque de pertinence, d’attrait ou d’utilité du contenu.
- Peu ou pas de temps passé par session. À cause d’un fort taux de rebond, d’un manque de maillage interne ou d’une mauvaise navigation.
La solution? L’optimisation historique! Toujours d’après les chiffres du rapport HubSpot, elle permettait de doubler le nombre de prospects mensuels générés par des anciens contenus un peu mous du genou. On essaie?
L’optimisation historique au secours des contenus déclassés
Comme son nom l’indique, l’optimisation historique consiste à opérer un grand nettoyage dans l’historique de vos anciens contenus. Votre plan d’attaque, c’est:
- Systématiser l’usage des mots clés de la longue traîne, pour mieux cibler les besoins et attentes de vos cibles.
- Éditer et muscler les titres, pour inciter au clic dans le SERP et augmenter la performance de votre trafic organique.
- Soigner l’accroche des métas, pour susciter la curiosité et stimuler votre taux d’engagement.
- Reciblez l’intention des utilisateurs, pour réduire votre taux de rebond et gagner en conversion.
- Ajouter des liens internes et externes, pour asseoir votre crédibilité et éprouver l’utilité de l’information.
- Regrouper, repackager et consolider, pour recréer de la valeur ajoutée à partir de vos bouts de tissus.
- Injecter des visuels attractifs, pour encourager l’engagement social et susciter la viralité.
- Replanifiez vos appels à l’action, pour mieux guider vos utilisateurs vers vos objectifs de conversion.
Avec un peu d’huile de coude et surtout une bonne stratégie d’optimisation historique, vous pouvez rentabiliser les contenus web moins performants de votre patrimoine éditorial. Un dernier conseil un peu rétrofuturiste: appuyez-vous sur cette analyse du passé pour surveiller vos nouveaux contenus et rester proactif. C’est aussi ça le respect du cycle de vie de vos contenus et le marketing durable.
Et vous, vous faites quoi de vos contenus web moins performants? Rien? Poubelle? Ou optimisation historique?
Source: How to Detect, Repair & Profit From Underperforming Content
