Boutons d'action ou l'art de la persuasion

Étiquettes : , ,

Les boutons d’action jouent un rôle clé dans les KPI : taux de rebond, clic profond, conversion… 3 tips pour en faire une arme de persuasion.

Maîtriser l’art des boutons d’action est capital en stratégie de contenu Web. En effet, il ne suffit pas de faire du contenu pour du contenu. Le content marketing doit inciter, engager une cible plus en avant dans la décision d’achat.

Or ce sont les incitants à l’action qui sont un des plus puissants outils dont on dispose pour attirer, fidéliser, transformer le prospect en client.

Mais pour qu’un bouton d’action fasse l’effet escompté, il doit vraiment incité. C’est une des particularités de l’écriture web, d’ailleurs : d’être une écriture multimédia et interactive. C’est pourquoi elle recourt à l’hypertexte comme incitant à l’action.

En outre, c’est aussi la base de toute communication marketing : d’influencer, de faire réagir vos cibles. Donc l’incitant à l’action s’impose dans toute stratégie de contenu digital.

L’incitant à l’action prend généralement la forme d’un bouton d’action ou, à tout le moins, d’un lien hypertexte.

Un bouton d’action, c’est d’abord un message

Vos boutons d’action doivent indiquer clairement, simplement, sans équivoque, ce que le visiteur peut, doit faire pour enrichir son expérience utilisateur. On évite donc d’être trop générique. Au niveau éditorial, on exerce la concision et la persuasion.

Pour savoir quels mots touchent le mieux vos cibles à vous, rien de tel que de tester. Parfois, de simples petits changements peuvent faire toute la différence. Avez-vous déjà testé un call to action en A/B testing, par exemple ?

Les boutons d’action doivent être directement identifiés

Puisque votre écriture doit être interactive, il convient de rassurer directement l’utilisateur que vous lui donnez les moyens d’agir, de s’approprier votre discours ! Or la meilleure manière de le faire, c’est de lui donner des signes visuels de son pouvoir d’action.

Autrement dit, vos boutons d’action doivent être reconnaissables au premier coup d’oeil. Il est impensable qu’on puisse les confondre avec une bannière, une illustration ou toute autre forme d’aide à la lecture.

Les incitants à l’action doivent non seulement contraster avec les autres éléments éditoriaux de la page, mais ils doivent aussi être suffisamment grands, histoire de ne pas passer inaperçus.

Évitez toutefois de pratiquer un genre trop « racoleur » et commercial. Cela risquerait de faire fuir vos visiteurs. Il n’y a pas de dimension arrêtée, mais c’est à vous de juger !

Quant à la forme, optez pour des boutons d’action rectangulaires – avec, pourquoi pas, des bords légèrement arrondis. Les internautes sont habitués à ce standard, réconfortez-les !

Vos boutons d’action ont une place

Il arrive qu’on ait deux, trois incitants à l’action sur une landing page ou dans un e-mail. Chaque incitant a peut-être un objectif particulier : découvrir le produit, lire le témoignage, ajouter le produit au panier.

Organisez donc l’ordre et la place de vos boutons d’action sur la page. En priorisant les plus importants. Ils seront donc placés en haut de la page. Ainsi, les visiteurs pourront les visualiser instantanément, sans avoir à défiler vers le bas.

Veillez bien sûr à ne pas surcharger vos pages de boutons. Dès lors, répartissez-les correctement, en respectant le trajet attentionnel du visiteur.

Et vous, quelle expérience voudriez-vous partager concernant les boutons d’action?

 


Devenez chroniqueur

Vous souhaitez devenir chroniqueur ou nous soumettre un article? Rien de plus simple.

Ça m'intéresse

#EPW sur Twitter

#EPW sur Facebook

À propos

Votre blog Écrire pour le web en chiffres
  • Plus de 25.000 sessions par mois
  • Plus de 35.000 pages vue chaque mois
  • 1500 abonnés à la newsletter
  • Créé en 2006
  • 1e position dans Google sur des expressions métier
En savoir plus